Saintélyon 2013 - 60ème édition !

[Jérémie C]

Y en a bien qui adorent les choux de bruxelles

Oui, moi.

[Antoine_974]

Y en a bien qui adorent les choux de bruxelles

Oui, moi.

[Spir]

Y en a bien qui adorent les choux de bruxelles

Oui, moi.

moi aussi, c'est d'ailleurs mon régime exclusif pour les deux dernières semaines de récup : choux de bruxelles, flageolets, fayots et pois chiches. C'est qu'on a une réputation à tenir maintenant, nous les coureurs de la STL (même si c'est que la "SXP" pour moi) !

Grand bleu aujourd'hui et plus de neige. Faut qu'ça tienne

[Antoine_974]

Grand bleu aujourd'hui et plus de neige. Faut qu'ça tienne

Non : faut que ça fonde !!!!

[Trixou]

Le bouc fait dans la provoc, mais en fait je me pose la même question : qu'est ce qui vous attire dans cette course ?
J'ai posé la question à certains d'entre vous et la réponse n'a jamais été très claire, genre "oui y'a la foule, oui c'est large et roulant, mais je sais pas, y'a quelque chose", le tout avec les yeux qui brillent bizarrement...
Si c'était juste pour avoir fait LA classique hivernale vous n'y reviendriez pas chaque année. Alors ???
- La foule justement qui dans ces conditions génère des sensations différentes de celle du métro aux heures de pointe ?
- La nuit et le froid ? (Si on court c'est bien parce qu'on aime en chier)
- Le côté relativement accessible pour un ultra ?
- Des produits illicites aux ravitos ?
- ???

[boblastar]

Perso je l'ai faite 6 ou 7 fois dont 3 en solo (dont 2 abandons sur blessure) mais ma dernière (2009 ?) a été celle de trop : trop cher (plus de 90 € cette année avec le car, faut pas déconner ), trop de monde, trop de c... qui te bousculent sans même un "pardon", la foire d'empoigne aux ravitos...

[xekebo]

Il y a beaucoup de monde, question parcours on y voit rien, on tombe dans la neige ou dans la boue (ca dépend des années) il fait froid... Mais pour moi c'est une course qui se fait au mental et qui est très difficile, sans doute la plus compliqué à gérer... et celle dont je suis le plus fier d'avoir bouclé l'an dernier !

[Antoine_974]

Dernière course de la saison, à faire entre potes, des moments magiques quand on descend sur Lyon depuis les hauteurs, voir la ville illuminée.
Des sensations particulières de nuit, sans grandes difficultés.

Je ne voulais plus la refaire mais étant donné que c'est le 60ème anniversaire et que le parcours a changé, j'ai craqué...

Par contre l'année prochaine ce sera LPF !

[bobafleur]

Aie j'ai une Kangoo que j'aime beaucoup, j'adore les choux de bruxelle et je vais courrir pour la 7e fois la saintélyon avec toujours autant de plaisirs, vite appelons la HALDE pour lutter contre cette infamante discrimination !

Sinon, juste pour dire que j'ai vu 2 personnes de l'organisation sur un quad avec hache et tronçonneuse en train d'élaguer le chemin dans le bois de bouchat et ils avaient du boulot, ils étaient déjà passé quelques semaines auparavant, mais avec la neige lourde qui est tombée, il fallait recommencer.

Pour info, le bois de bouchat, ça passe pas en 4x4, c'est roulant, mais bon il faut faire attention où l'on met les pieds quand même.
J'ai repéré le parcours en entier et je me disais justement quelle jolie parcours, peut être que je ne suis pas objectif, car j'habite quasi sur le parcours, mais quand même...
Pour ceux qui ne le connaissent pas, vous verrez vous ne serez pas déçu.

[Chatdansldos]

Bonjour à tous et merci pour vos échanges extrêmement instructifs.

Je vais courir ma première STL et je flippe de plus en plus, alors vous lire rassure beaucoup. Mention particulière pour la video de 33 mn sur la reco. et pour corne de chamois dont je relis les posts régulièrement pour me détendre les zygomatiques

Rendez-vous dans les SAS et peut-être à l'arrivée. J'espère

[Arclusaz]

Je fais probablement parti de ceux qui n'ont pas su répondre à la question de Trixou et ce ceux qui avaient les yeux qui brillent en en parlant.

Pourquoi je participe à la STL ?

Parce que, modeste coureur, quand j'ai commencé à m'y intéresser il y a quelques années, cela me semblait impossible à faire. Et que j'y suis arrivé....tout en restant un modeste coureur. Je comprends que de plus forts coureurs s'en lassent et aillent voir ailleurs.

La STL, pour moi, c'est une course à laquelle je pense au moins une fois par jour pendant 6 mois ; j'y vais comme à une fête, comme à un mariage. Elle finit de manière formidable l'année, elle me permet d'aller courir en novembre, grâce à la STL j'ai rencontré plein plein de gens (et pas simplement virtuellement). 70€, c'est cher pour une course. Mais, 70€ pour 5 minutes de rêve par jour pendant 6 mois, je peux me le permettre (c'est sur ça fait râler quand je vois qu'il y 3 ans, on payait 42 euros).

Bien sur, cette course a plein de défauts (on en a tous des défauts !), ce n'est pas LA course mais c'est un peu MA course (mais elle "appartient" à des milliers d'autres coureurs). Je ne ferai rien de plus dur dans ma vie sportive que la STL, cela ne m'intéresse pas, c'est mon everest à moi (je sais, ça va faire rire plein de gens mais j'ai conscience de mon niveau et je ne veux pas m'investir plus que cela dans la CAP).

J'écrivais hier dans le sujet "off à Lyon" après ma dernière reco (ce doit être la 12eme en 2013 !) que, avec tous ces bons moments passés en groupe en sorties longues de prépa, ma STL2013 était déjà réussie (si en plus je peux faire la bise à Bubulle, ce sera la cerise sur le gâteau).

la CAP, c'est une passion, c'est dur d'expliquer ce qui nous passionne là dedans, pas besoin de se justifier. Mais, je sais que sur la ligne de départ, je vais avoir des frissons de joie et que je vais pleurer à l'arrivée.
Oui, c'est too much, ridicule de l'extérieur. Mais, ça me fait plaisir alors je le fais.

Et puis, si vous voulez comprendre pourquoi nous les boulets, on prend du plaisir à courir à la queu leu leu, lisez ceci :

http://www.kikourou.net/recits/recit-11 ... gnais.html

[Japhy]

Je n'y retourne pas cette année, pour différentes raisons, mais j'aurais pu.

L'an dernier j'avais écrit un article (un peu long, désolée) paru dans un magazine de course à pied, qui explique sans doute pourquoi, peut-être un jour, j'y retournerai. Ceci n'est pas une réponse aux critiques (critiques que je reçois sans problème, certaines sont tout à fait pertinentes, mais comme le dit Arclusaz, personne n'a à se justifier de ses choix), mais c'est plutôt une façon de dire bienvenue aux nouveaux participants de cette année. Ne vous faites pas de souci, vous en tirerez forcément quelque chose de bien, même si vous n'en avez pas l'impression en passant l'arche d'arrivée! Des fois, ça vient après.



Saintélyon 2012 : Aux cœurs de la nuit

Courir la nuit, dans le froid, la neige, sur le verglas pendant des heures, pour relier Saint-Etienne et Lyon, sur un peu plus de 70 kilomètres : faut-il être fou ? Que viennent chercher ces coureurs par milliers ? L’aventure ? La performance ? Et si c’était aussi le partage, l’entraide et l’amitié ?

Je ne sais plus très bien moi-même pourquoi je suis là, sur la ligne de départ, à minuit. Je sais que je vais devoir avancer dans ce froid mordant, dans cette neige sur les crêtes et sur ce verglas qui pose ses pièges dès le 7ème km. Au fil de ma progression, en voyant mes compagnons s’aider mutuellement dans la difficulté, je me souviens du récit de Mamanpat sur l’édition 2010 : une glissade de trop et ses amis qui restent avec elle pour la soutenir. Je comprends alors le sens de cette course. Oui nous sommes nombreux, peut-être trop, mais nous sommes embarqués dans quelque chose qui nous dépasse et qui nous marquera durablement.

Le coq vient de chanter, il est 5 heures. Jean-Philippe quitte le ravito de Soucieu-en-Jarrest. Mais le parcours a été modifié depuis sa dernière participation. Au lieu de traverser le village, on passe maintenant…près du cimetière ! « J’étais déstabilisé, fatigué, car j’avais perdu mes repères. Et Olivier est apparu, souriant, au détour d’un sentier. Il m’a accompagné un moment, m’a fait sortir de cette bulle négative, a prétendu que j’avais l’air frais, m’a donné des nouvelles des copains. Il a secouru mon mental devenu friable et m’a assuré qu’il m’attendrait avec d’autres amis à l’arrivée ! Alors je suis reparti jusqu’au bout, à bloc ! Et ils étaient là, comme promis ! Les retrouver à Gerland restera l’un de mes meilleurs souvenirs de course ».

Olivier, l’ami de Jean-Philippe, a couru plusieurs fois la Saintélyon. Mais cette fois, blessé, il a vécu la course du côté des spectateurs. « Sur la ligne de départ, j’aurais donné beaucoup pour ajouter mon faisceau au vaste champ des frontales. J’ai retrouvé mes amis sur les routes du Jarez, bordées par des congères d’un mètre, puis à nouveau à Soucieu. Je n’ai pas dormi mais j’ai rêvé toute la nuit. A l’arrivée, j’ai mesuré l’ampleur de l’effort accompli et le caractère exceptionnel de cette édition. J’aurais bien versé quelques larmes en les voyant franchir la ligne ».

La solidarité sur la Saintélyon, Virginie la connaît bien ! « En 2010, ma fille et moi avons accompagné mon mari et son copain tout le long du chemin. Sur le dernier tronçon de course, on arrêtait la voiture à chaque kilomètre pour les encourager. Evidemment on retrouvait à chaque fois d’autres coureurs, que l’on ne connaissait pas, mais qui ont été très amusés de nous voir jouer les pom pom girls ! Et ça leur a redonné du courage ! »
Cette expérience a donné envie à « Nini » de tenter elle-même sa chance sur cette course dès l’année suivante! Cette fois, elle a connu l’entraide au sein même du peloton. « En 2011, un gentil monsieur est resté quelques kilomètres avec moi lorsque ma frontale ne fonctionnait plus. Il m’a accompagné jusqu’au ravito suivant où j’ai pu changer les piles. Plus encore que m’apporter la lumière, il m’a remotivée. C’est ce qui m’a permis de passer un cap difficile et de finir».
Les conditions climatiques et un genou peu coopératif ont malheureusement eu raison de l’enthousiasme de Nini sur l’édition 2012. « Cette année, j’ai trouvé la solidarité dans la défaite, alors que je pleurais toutes les larmes de mon corps après avoir décidé d'abandonner à Soucieu. Je me sentais terriblement seule. Un papy coureur, qui venait lui aussi de jeter l’éponge, est venu me voir et m'a réconfortée. Il m'a dit qu'il ne fallait pas être déçue si j'avais donné le maximum, qu'un premier abandon n'était jamais facile à accepter mais qu'il ne fallait pas douter de mon futur de coureuse. Et voilà qu’au bout d’un moment, nous avons comparé nos téléphones, je lui ai même fait essayer le mien, qu’il a trouvé très pratique ! J’allais déjà mieux ! »

De leur côté, Morad et Larbi ont décidé de courir ensemble. C’est la douzième participation de Morad et la deuxième de son ami. « Pour résumer, nous allions gaiement bouffer, ensemble, des kilomètres de misère ». Malheureusement, Morad se retrouve avec une entorse au poignet dès le 13ème km, victime d’une énième glissade sur le verglas. Larbi convainc son compagnon de penser à autre chose, le motive, l’aide à se relever après chaque nouvelle chute, à boire et à s’alimenter à chaque ravitaillement. Morad raconte : « après Saint Christo, vers ce lieu bien nommé pour la circonstance, « l’hôpital », nous retrouvons un public enthousiaste autour d’un brasero, tapant sur des bidons : cela fait chaud au cœur de savoir qu’ils sont présents quelles que soient les conditions depuis 2008 et certainement pour une nuit aussi longue que la mienne». La descente piégeuse du bois d’Arfeuille ajoute une luxation de l’épaule à son tableau de chasse. « A partir de ce moment, j’aurais pour la première fois en course, très peur de la chute. Alors je laisse mon ami partir devant. » Mais Morad retrouve Larbi au ravito de Soucieu. Celui-ci est transi et a encore dans les jambes son marathon du week-end précédent. « Je n’ai pas la force de le convaincre, et en dernier ressort je décide de continuer malgré tout et de courir pour nous. Je veux dire merci à mon ami. J’ai couru douze Saintélyon mais celle-ci restera singulière par sa charge émotionnelle. »

La neige tombe à Chaponost. Je joue au chat et à la souris avec deux gars sympathiques. « Arrêtez de me doubler! » « Ce n’est pas possible, c’est encore elle, on ne peut pas s’en débarrasser ! » La solidarité prend parfois le visage d’un jeu, comme si redevenir des enfants insouciants nous redonnait courage. A force de rouspéter tant et plus, je gagne même un surnom, « Mado la niçoise ». Est-ce ma faute à moi si mon pays méridional ne m’a guère habituée à de tels débordements météorologiques ? Ce tronçon de route est un bonheur, les villageois nous applaudissent tandis que d’autres proposent des croissants et des quartiers de mandarine sur des assiettes en faïence, instants de poésie sous les flocons de neige.

Sur le chemin qui rejoint Beaunant, nous sommes dans la boue jusqu’au cou. Un petit groupe attire mon attention. Une fille en veste rose s’écrie « J’en ai marre, je n’en peux plus ». Un certain Romuald lui répond : « Et moi tu crois que je n’en ai pas marre ! Il faut continuer ! » « Mais moi j’en ai bien plus marre que toi, je m’arrête à Beaunant, c’est tout ! » Romuald et la fille en rose ne se connaissaient pas avant de se rencontrer sur ce bout de sentier. « Avec mon ami, nous lui avons demandé si elle était blessée mais ce n’était pas le cas. Il ne lui manquait qu'une chose à ce moment précis, le mental. Nous sommes restés à sa hauteur quelques minutes en lui disant qu'il fallait s'accrocher. Elle semblait habituée aux courses difficiles mais nos paroles de réconfort et d'encouragement n’ont pas suffi à la faire changer d'avis, malheureusement. » Romuald et son copain d’entraînement finiront main dans la main à Lyon, quelques minutes avant moi.

C’est aussi à Beaunant que Sabine, qui a entrepris ce long voyage initiatique depuis sa région parisienne, s’assoit sur un banc, épuisée. « J’avais très froid, un coureur venait de m’aider à renfiler mes gants, mais je n’en pouvais plus. A côté de moi, une fille, dans le même état que moi. Elle m’a dit : on doit repartir, on ne peut pas abandonner si près du but. Cela n’a l’air de rien mais ce sont des petites choses qui permettent de finir une course». A ce moment, repartir veut dire affronter la terrible côte de Sainte-Foy, puis la belle descente suivante, où les cris des quadriceps dans la nuit glaceraient le sang des plus courageux. Mais Lyon est devant eux, comme une promesse.

Les quais de Confluence à l’automne blessent nos pieds de leur longueur monotone et restent une épreuve pour la plupart d’entre nous. C’est l’endroit où l’on se lamente, où l’on passe des coups de fil pour recevoir un peu de courage. Pourtant, on peut vivre sur les quais de véritables contes de Noël ! Mamanpat y retrouve son ami Bertrand, qui la fait passer en mode Pac-Woman pour entrer dans le top 30 féminin ! Il y a aussi ce vieux monsieur timide qui encourage les coureurs de sa crécelle et de son petit klaxon manuel! Et puis il y a ce joggeur du dimanche matin, Benoît, qui, intrigué, décide d’accompagner Eric sur un bout de chemin. Lorsque ce dernier lui avoue que son plus grand bonheur, à cet instant, serait de s’attabler devant un solide petit déjeuner, Benoît lui lance : « je reviens dans dix minutes ». Quelques kilomètres plus loin, dans le parc de Gerland, Eric retrouve Benoît, armé d’un thermos de café et de tartines beurrées ! « Ce moment merveilleux m’a requinqué, j’ai pu passer l’arche à toute vitesse » raconte Eric !

J’imagine que Benoît a malheureusement dû rentrer se doucher entre temps, car je ne l’ai pas vu et je me traîne à Confluence. Les galets martyrisent mes pieds endoloris par les fantômes des « chaînes anti-verglas », prêtées par ma copine Aurély et enlevées à Beaunant. Je n’ai pas le cœur à m’attendrir devant le spectacle du Rhône et de la Saône qui s’embrassent et mêlent leurs corps. Je ne sens que MON corps, et ce n’est pas l’extase.
J’arrive enfin au pont Pasteur. Les escaliers pour rejoindre la route ne sont pas bien hauts mais à ce moment, c’est le Ventoux, c’est le col de la Bonette, c’est le col du Tourmalet un jour de tempête. Je sens une main qui me pousse dans le dos, marche après marche. Merci à toi, coureur inconnu, qui a donné un peu de tes dernières forces pour m’aider à franchir cet Everest.
Et merci à toi Patricia. Te retrouver sous l’arche et tomber dans tes bras, en pleurs, manger plus tard le repas que tu avais cuisiné pour moi, m’endormir sur ton canapé tandis que tu me parlais, sentir que tu posais sur moi une couverture et même deux, alors que nous ne nous étions pas vues depuis dix ans : ce fut mon plus beau moment d’amitié sur cette Saintélyon 2012.

[Chatdansldos]

Punaise… ça va être chargé cette épreuve. Merci pour vos témoignages encore une fois. Dire qu'il reste 12 jours à attendre !

[jack91290]

Magnifique japhy... vivement le depart.

Jack

[o[Bob]]

Dernière course de la saison, à faire entre potes, des moments magiques quand on descend sur Lyon depuis les hauteurs, voir la ville illuminée.
Des sensations particulières de nuit, sans grandes difficultés.

Je ne voulais plus la refaire mais étant donné que c'est le 60ème anniversaire et que le parcours a changé, j'ai craqué...

Par contre l'année prochaine ce sera LPF !

Pareil. Heu.. AVEC grandes difficultés !
Et next year, ça sera le Trail du Loup Blanc (rien que pour le nom) pour moi..

[polosh]

...mais c'est plutôt une façon de dire bienvenue aux nouveaux participants de cette année. Ne vous faites pas de souci, vous en tirerez forcément quelque chose de bien, même si vous n'en avez pas l'impression en passant l'arche d'arrivée! Des fois, ça vient après.

Merci Japhy, ça c'est réconfortant pour ceux qui vont affronter ça pour la première fois !

Magnifique japhy...

+1, merci pour le partage!

[boblastar]

J'ai de très bon souvenirs (la guirlande de lucioles c'est assez magique) mais c'est juste devenu "trop" à mon goût, c'est tout.

[Japhy]

Bob, je dis dans l'article qu'on est trop nombreux. Donc je comprends très bien les critiques, c'est juste que comme l'a dit je ne sais plus qui, "y a un truc", difficile à expliquer.

[boblastar]

Bob, je dis dans l'article qu'on est trop nombreux. Donc je comprends très bien les critiques, c'est juste que comme l'a dit je ne sais plus qui, "y a un truc", difficile à expliquer.

Oui j'adorais aussi cette ambiance, mais les contraintes ont dépassé l'intérêt pour moi. Après peut-être qu'avec l'âge je deviens aussi plus sauvage (c'est même certain), je préfère courir avec quelques potes en forêt la nuit (ce n'est donc pas le froid ni la neige qui me rebutent )

[sapi74]

le moment le plus émouvant pour moi l'année dernière c'était avec toi japhy et sabzeina au départ.

on c'est souhaités bonne chance puis juste dans nos regard j'ai sentie que l'on ressentaient tous les 3 la même chose, l'envie, l'angoisse, un peu de peur .

enfin je sais pas comment l'exprimer mais c'était un jolie petit moment de partage.

[Trixou]

Merci pour vos réponses. Très bel article Japhy !
Bon je ne regrette donc pas d'avoir accepté de la faire avec mon beauf l'année prochaine...

[Japhy]

Hoooo arrête sapi parce que là je vais commencer à pleurnicher, encore plus puisque je viens pas cette année!

Bob, c'est amusant ce que tu dis sur "l'âge", j'aime bien les deux sortes d'ambiance, j'adore les petits trails des alpes-maritimes, et j'ai adoré les aventuriers du bout de la Drôme (une centaine de participants sur le 105). Mais avec la STL ou le week-end TDS/CCC/UTMB, j'ai l'impression ... d'aller en boîte comme quand j'étais gamine. C'est vraiment l'impression que ça me fait! (ça va me faire la même chose au marathon de Paris je sens)
Bref, les deux sont bien finalement.

[arthurbaldur]

J'ai besoin de vos lumières pour une histoire de certificat médical.

Acte 1 : Mon frère envoie son certif courant septembre.

Acte 2 : Mon frère envoie une deuxième fois son certif quelques jours plus tard.

Acte 3 : Mon frère envoie une troisième fois son certif quelques jours plus tard.

Jusque là, du déjà vu ici.

Acte 4 : Début novembre, il reçoit un mail de l'orga comme quoi son certif est bien enregistré. C'est d'ailleurs en allant voir la liste des inscrits sur le site de la sainté que je l'ai appris.

Jusque là, parfait.

Acte 5 : Il reçoit aujourd'hui un mail lui indiquant que maintenant il n'est plus valable.
Motif :

En revanche, il ne peut pas être pris en compte car il doit porter la mention « course à pied y compris en compétition »

.

Je viens de récupérer le modèle de certif sur le site de la sainté. Il n'est nullement fait mention de cette mention.

Je, soussigné Dr ________________________, Docteur en médecine, certifie que l’examen de M/Mme _______________________________ Né(e) le : _______________ ne révèle pas de contre indication à la
pratique de la course à pied en compétition.

Le "y compris" n'apparaît pas !

Voici le certificat de mon frère :

Je, soussigné Dr xxxxxxxxxxxx, Docteur en médecine, certifie après avoir examiné M. yyyyyyyyyyyyyyy qu'aucun signe cliniquement décelable ne contre-indique la pratique de la course à pied en compétition, pour la course de SaintéLyon, qui aura lui le 8 décembre.

Il me semble que la mention est bien présente. Donc pourquoi il est refusé après avoir été accepté, d'autant plus que le motif invoqué n'est même pas dans le modèle de certif de l'organisation !!!!

Auriez-vous une idée du pourquoi du comment ?

Je ne vois pas ce qui cloche dans ce certificat. La mention "course à pied en compétition" devrait être suffisante en elle même. Il doit y avoir un autre problème, un homonyme peut-être ?

[boblastar]

Bob, c'est amusant ce que tu dis sur "l'âge", j'aime bien les deux sortes d'ambiance, j'adore les petits trails des alpes-maritimes, et j'ai adoré les aventuriers du bout de la Drôme (une centaine de participants sur le 105). Mais avec la STL ou le week-end TDS/CCC/UTMB, j'ai l'impression ... d'aller en boîte comme quand j'étais gamine. C'est vraiment l'impression que ça me fait! (ça va me faire la même chose au marathon de Paris je sens)
Bref, les deux sont bien finalement.

J'ai aussi fait le marathon de Paris (2005), ben ça m'a moins "gonflé" que la STL vers la fin, car :
1) je savais dès le départ que je serai pas seul
2) c'est urbain et pas dans un trip "nature" avec ce que cela implique inconsciemment
3) la foule m'a très peu gêné dans ma perf' (mes jambes si )
4) c'était en mode WE prolongé en famille donc de super moments partagés, et même si mon objectif n'avait pas été complètement atteint, le repas du soir avait tout effacé

[ch'ti lillois d'vizille]

Moi je souhaitais ne jamais faire la STL car trop de monde.
Puis en mars 2012, je reçois une pub STL et là j'ai cliqué, pris la carte bleue et me suis retrouvé inscrit. Mais pas de chance, suite à blessure non guérie, abandon à Ste Catherine.
Du coup, je n'aime pas rester sur un échec, et donc insription pour 2013 histoire de la finir entre potes si possible.

[bubulle]

Finalement, cette petite passe d'armes a un avantage, j'ai pu lire le superbe article de japhy que je n'avais jamais lu. Et que je partage évidemment totalement (t'as raison sur l'impression d'aller en boîte, au fait).

(bon, sauf que quand j'étais ado j'allais jamais en boîte sauf si aller à d'improbables concerts de groupes exotiques inconnus anarcho-punkoïdo-babas, ça compte comme aller en boîte)

[Japhy]

(bon, sauf que quand j'étais ado j'allais jamais en boîte sauf si aller à d'improbables concerts de groupes exotiques inconnus anarcho-punkoïdo-babas, ça compte comme aller en boîte)

Ha mais moi je faisais les deux!

[Cocorosinette]

Je ne vois pas ce qui cloche dans ce certificat. La mention "course à pied en compétition" devrait être suffisante en elle même.

On est bien d'accord.

un homonyme peut-être ?

Nous ne nous appelons Dupont ou Martin et à Cham, il est bien le seul.

[Hippo74]

Hello kikoureurs

Voilà je vous lis depuis un moment et la petit soucis donc je viens vous demander vos lumière.

Je me suis inscrit sur la saintexpress jusque la tt va bien
L'envie est vraiment la je compte les jours et les heures trop hâte de prendre le départ.

Mais lors d'un entrainement dune sortie longue j'ai sorti une pointe au niveau de l'adducteur gauche.
Depuis je ressent tjs une petite gêne ; j'ai bien peur de déclarer forfait ( j'en ai vraiment pas envie!!!!)
J'ai envie de galerer Den chier et de prendre du plaisir cette nuit la ....

Avez vous des conseils pour soigner cette douleur.
La je prends anti inflammatoire et pommade pour masser l'adducteurs.
Et des bandes k (bandes bleus) pour le jour j si j'ai de la chance d'y participer.
Et une huille massante.

Ou alors fais je bien de m'obstiner a vouloir faire cette course?

Merci de vos réponses le contre la montre est lance pour moi

[Mamanpat]

Hello kikoureurs

Voilà je vous lis depuis un moment et la petit soucis donc je viens vous demander vos lumière.

Je me suis inscrit sur la saintexpress jusque la tt va bien
L'envie est vraiment la je compte les jours et les heures trop hâte de prendre le départ.

Mais lors d'un entrainement dune sortie longue j'ai sorti une pointe au niveau de l'adducteur gauche.
Depuis je ressent tjs une petite gêne ; j'ai bien peur de déclarer forfait ( j'en ai vraiment pas envie!!!!)
J'ai envie de galerer Den chier et de prendre du plaisir cette nuit la ....

Avez vous des conseils pour soigner cette douleur.
La je prends anti inflammatoire et pommade pour masser l'adducteurs.
Et des bandes k (bandes bleus) pour le jour j si j'ai de la chance d'y participer.
Et une huille massante.

Ou alors fais je bien de m'obstiner a vouloir faire cette course?

Merci de vos réponses le contre la montre est lance pour moi

Consulte ! Seul un bon médecin sportif te dira ce qu'il en est et te permettra de prendre la bonne décision

[Corne de chamois]

Puisque vous allez la manquer :
http://www.20minutes.fr/television/diap ... rance-2014

[sapi74]

Puisque vous allez la manquer :
http://www.20minutes.fr/television/diap ... rance-2014

une raison de plus pour faire la stl cet année

[yves_94]

pour les gars du coin,petite question poudreuse...elle en est où sur les hauteurs? Ca fond ?
En tous cas pour les 10 prochains jours, cela s'annonce assez bien avec un redoux pendant la journée, mais des températures inférieures à 0 la nuit.
J'espère qu'il n'y aura pas trop de verglas...

[ced91]

Prévision météo de Saint-Etienne a 14jours :-/

http://www.tameteo.com/meteo_Saint+Etie ... 26073.html

[pouto]

Bonjour,
quelqu'un sait-il si l'on peut retirer un dossard pour quelqu'un d'autre (sur le 75) ou non? Et si oui, quels documents faut-il fournir?

[polosh]

Bonjour,
quelqu'un sait-il si l'on peut retirer un dossard pour quelqu'un d'autre (sur le 75) ou non? Et si oui, quels documents faut-il fournir?

Possible!! Je le fais pour un collègue, voici la réponse qu'on a eu par mail:
"Une autre personne peut retirer votre dossard sur présentation d'une photocopie de votre pièce d'identité et si vous avez envoyé votre certificat médical par mail au préalable."

[Chatdansldos]

Je confirme, j'ai eu la même réponse par mail.

[pouto]

Merci pour vos réponses

[sabzaina]

je relançe "question de novice : qu'est ce qu'il y a au ravito ?"

Y a des cookies !!!! <3 <3

[sabzaina]

le moment le plus émouvant pour moi l'année dernière c'était avec toi japhy et sabzeina au départ.

on c'est souhaités bonne chance puis juste dans nos regard j'ai sentie que l'on ressentaient tous les 3 la même chose, l'envie, l'angoisse, un peu de peur .

enfin je sais pas comment l'exprimer mais c'était un jolie petit moment de partage.

Oh que oui...