Kikourou.net

Bonjour les Kikouroù

Je pense que la plupart d'entre nous passons par des phases où nous n'avons tout simplement plus envie d'aller cavaler ........ Est-ce simplement psychologique, dans ce cas une bonne sortie règlera tout ça, ou est-ce un ras le bol et une fatigue physique, auquel cas une sortie n'arrangerait rien voire peut causer une blessure?

Comment faire la différence, et vous, comment réagissez vous dans ces périodes là..?

C'est un peu vague...ça fait combien de temps? Est-ce après une grosse épreuve ou comme ça sans raison apparente?

Généralement, j’essaie de modifier un peu ma façon de m'entrainer durant ces périodes. Par exemple, en ce moment je fais pas mal de PPG/renforcement musculaire et je cours un peu moins.

Il faut en résumé: chasser la routine en dissociant la grosse baisse de motivation de la petite fainéantise

En fait ça vient de temps en temps, sans prévenir, comme je fais pas mal d'activiés à côté c'est peut etre un peu "trop", par moments, le stress du travail en plus..
Tu as certainement raison, Jéremie, il faut essayer de varier un peu et trouver un parcours un peu lpus ludique, quitte à ne pas faire sa moyenne habituelle ..!

Pour ma part le fait d'avoir toujours des objectifs en ligne de mire permet de combattre ce manque de motivation (qui est surtout de la feinéantise) qui peut s'installer, d'autant plus que les beaux jours sont derrière nous.

AAAAAARGHHHHHH l'hiver arrive ..........!
Ceci dit en Janvier je pars 3 semaines en Martinique, voilà qui motive
Belles sorties en perspective : )

PtitLudo a écrit:Pour ma part le fait d'avoir toujours des objectifs en ligne de mire permet de combattre ce manque de motivation (qui est surtout de la feinéantise) qui peut s'installer, d'autant plus que les beaux jours sont derrière nous.

+1 depuis 2 ans, je fixe mon calendrier de courses pour l année afin d éviter trop de relâchement après la phase de repos post compétition.

Moi he fixe plutot mes courses en fonction de ma forme, c'est peut etre bien l'inverse qu'il faut faire ..!

Plus de 200 courses en 4 ans et tjs pas lassé. Mon secret? Le plaisir des rencontres, de la course à pied.
Faire du sport est une bénédiction pour notre santé et notre moral. LE PLAISIR avant tout. Effectivement choisir ses courses en fonction de sa forme n'est pas le top, fais ton calendrier, ça booste

Qd le moral sera un peu meilleur c'est ce que je ferai

Merci à tous!

Lounette a écrit:Qd le moral sera un peu meilleur c'est ce que je ferai

Merci à tous!

C est étrange, tu parles de baisse de forme puis de moral en berne.

N aurais tu pas d autres problèmes extra sportifs à régler ?

Le manque de jus, d envie d aller courir peut venir de difficultés familiales, professionnelles, relationnelles ou de santé.

Je me trompe peut être, mais il me semble qu il faut il déjà explorer ce qui ne va pas pour le régler, retourner courir sera alors une formalité.

+1 pour les rencontres, le partage.
Depuis qques temps je cours essentiellement seul. La motivation n'est vraiment pas là, c'est sûr.
Il reste la motivation de la compét mais ça s'estompe doucement aussi. L'obsession du chrono est moins présente désormais quoique toujours en filigrane
Je crois qu'il faut savoir alterner les plaisirs en course à pied (trail, route, court, long) pour durer dans le plaisir. L'idée de voyage aide bien aussi (jai adoré me rendre aux Templiers (les "vrais" !), à Serre Che, Chamonix, etc..., la découverte, il n'y a que ça de vrai.

Avec l'automne beaucoup de personnes passent en hibernation jusqu'au printemps, ne lache pas le morceau.
Prend le calendrier des courses et remplis ton programme de fin d'année et 2013, c'est mieux que de courser en fonction de sa forme.
Je suis l'un de ceux qui porte le plus mal son pseudo , mais c 'est grace à KIKOUROU, CLM et FB, et c'est super comme ça.
Ne lache rien !!!

Juste un passage à vide, trop de travail, trop de stresss qui pollue le reste..
Ca va remonter rapidement tout ça, en tout cas je fais tout pour, le sport m'y aide
Le changement de saison vers l'hiver n'aide pas..!
Ce WE semi de Pertuis, ça va faire du bien.

jean-phi a écrit:+1 pour les rencontres, le partage.
Depuis qques temps je cours essentiellement seul. La motivation n'est vraiment pas là, c'est sûr.
Il reste la motivation de la compét mais ça s'estompe doucement aussi. L'obsession du chrono est moins présente désormais quoique toujours en filigrane
Je crois qu'il faut savoir alterner les plaisirs en course à pied (trail, route, court, long) pour durer dans le plaisir. L'idée de voyage aide bien aussi (jai adoré me rendre aux Templiers (les "vrais" !), à Serre Che, Chamonix, etc..., la découverte, il n'y a que ça de vrai.

+1 mon chrono, ça fait longtemps que je l ai jeté, faisant partie du troupeau Je cours souvent seul à l entraînement et quand je sens petite baisse de forme (+ pluie + froid + nuit), je me dis que je fais tout cela pour prendre un vrai pied sur les compétitions, rencontrer du monde, apprécier la course, l ambiance, etc...

le solitaire a écrit:Plus de 200 courses en 4 ans et tjs pas lassé. Mon secret? Le plaisir des rencontres, de la course à pied.
Faire du sport est une bénédiction pour notre santé et notre moral. LE PLAISIR avant tout. Effectivement choisir ses courses en fonction de sa forme n'est pas le top, fais ton calendrier, ça booste

50 courses par an soit 1/semaine quasiment... impressionnant
Je suis totalement incapable de suivre un rythme pareil et je me contente d'une douzaine plus ou moins selon les années pour un total annuel qui est à peu près stable autour de 1600-1800 km par an (courses+entraînements). Moi ça me va, mais à chacun selon sa faim

Lounette a écrit:Juste un passage à vide, trop de travail, trop de stresss qui pollue le reste..
Ca va remonter rapidement tout ça, en tout cas je fais tout pour, le sport m'y aide
Le changement de saison vers l'hiver n'aide pas..!
Ce WE semi de Pertuis, ça va faire du bien.

Je comprends bien la situation pour l avoir vécu. Mais dans ce cas, il me semble qu il faut essayer de réduire l intensité des séances de CAP mais pas leur fréquence. Il vaut mieux courir tranquillement 2 x 45 mn sans engendrer de fatigue supplémentaire que faire une grosse séance d une heure et demi pour "rattraper" qui va engendrer de la fatigue et te faire renoncer à la séance suivante. C est bon pour le stress et le sentiment d avoir tenu tes engagements vont t apporter un peu de satisfaction.

Et, de plus, quand l envie d en découdre reviendra, tu n auras pas le sentiment d avoir à recommencer tout de 0.

Très bon conseil RayaRun !

Je suis d'accord , RayaRun
Il faut savoir faire de petites entorses à son plan d'entrainement de temps en temps, pour meiux repartir ensuite.
La semaine prochaine : canapé !!!!!!!! je déconne .......

La semaine prochaine : canapé !!!!!!!! je déconne .......

La récup fait partie aussi de l'entraînement lounette, penses-y !
Je pense également qu'il ne vaut mieux pas trop couper car le chemin à parcourir pour revenir est très, trop long. Donc aller courir quand on en a envie lorsque l'on n'a pas d'objectif et courir pour la forme oui. Couper trop longtemps est susceptible d'entraîner un arrêt définitif car on en prend malheureusement trop vite l'habitude de ne rien faire.

De toute façon au bout de qqs jours le besoin d'aller courir revient de lui même, c'est bon signe ..!
En tout cas je suis contente d'avoir trouvé site site, je trouve que c'est sympa et sans prise de tête, cool de pouvoir aborder des sujets divers.

Il y aura assurément plein d'avis différents sur la question, mais en ce qui me concerne, je me suis légèrement blessé (contracture au mollet) ....3 semaines d'ârrêt après un été chargé, finalement ça tombe à pic....je m'entretiens autrement, on peut vivre sans CAP ! C'est pour moi une découverte, je peux me sevrer, je pense même que psychologiquement c'est bon de couper !

Je suis un peu moins catégorique qu'avant sur la longueur idéale d'un arrêt.
J'ai été obligée de m'arrêter après la CCC, même si je ne l'ai pas finie, pour cause de côte cassée.
Les quinze premiers jours, même si j'étais fatiguée en profondeur, c'était très dur de se retenir.
Ensuite je suis sans doute sortie de la zone de dépendance, car ça ne me manquait plus "physiquement". Je me disais "oh oui tiens ce serait pas mal d'aller courir à la campagne mais après tout, je peux aussi faire ceci ou cela".
Et bizarrement la reprise a été assez facile cette fois. J'ai couru directement 10 km avec dix min allure marathon, puis dix allure semi, pour me retrouver sur de l'allure 10 km. Après un mois entier de coupure. (oui je sais c'est pas très malin, chut).
J'ai pu voir bien sûr que j'avais perdu sur le trail que j'ai fait dimanche, mais franchement, cette reprise-là a été beaucoup moins difficile que d'autres par le passé, celles où je ramais pendant plusieurs semaines. Donc il ne faut pas avoir forcément peur d'une reprise, et surtout il ne faut pas avoir peur de se reposer!
Si ça ne va toujours pas après le semi du Lubéron, ce n'est pas grave, mange une glace à Perthuis et direction le canapé.

Lounette a écrit:Juste un passage à vide, trop de travail, trop de stresss qui pollue le reste..
Ca va remonter rapidement tout ça, en tout cas je fais tout pour, le sport m'y aide
Le changement de saison vers l'hiver n'aide pas..!
Ce WE semi de Pertuis, ça va faire du bien.

Le sport doit rester un plaisir, il ne faut pas devenir esclave de son calendrier.
Tout cela en gardant une certain sérieux dans son activité.
Tu as plusieurs possibilité pour sortir du quotidien:
- changer tes parcours,
- changer tes horaires d'entrainement
- changer tes courses, essais de trouver de nouvelles épreuves.

C'est la routine qui tue

Galaté57 a écrit:

Lounette a écrit:Juste un passage à vide, trop de travail, trop de stresss qui pollue le reste..
Ca va remonter rapidement tout ça, en tout cas je fais tout pour, le sport m'y aide
Le changement de saison vers l'hiver n'aide pas..!
Ce WE semi de Pertuis, ça va faire du bien.

Le sport doit rester un plaisir, il ne faut pas devenir esclave de son calendrier.
Tout cela en gardant une certain sérieux dans son activité.
Tu as plusieurs possibilité pour sortir du quotidien:
- changer tes parcours,
- changer tes horaires d'entrainement
- changer tes courses, essais de trouver de nouvelles épreuves.

C'est la routine qui tue

L'excellence même de la synthès ki_va_bien. Gros +1

Lounette a écrit:Qd le moral sera un peu meilleur c'est ce que je ferai

Merci à tous!

Justement, courir c'est bon pour le moral

Galaté57 a écrit:

Lounette a écrit:Juste un passage à vide, trop de travail, trop de stresss qui pollue le reste..
Ca va remonter rapidement tout ça, en tout cas je fais tout pour, le sport m'y aide
Le changement de saison vers l'hiver n'aide pas..!
Ce WE semi de Pertuis, ça va faire du bien.

Le sport doit rester un plaisir, il ne faut pas devenir esclave de son calendrier.
Tout cela en gardant une certain sérieux dans son activité.
Tu as plusieurs possibilité pour sortir du quotidien:
- changer tes parcours,
- changer tes horaires d'entrainement
- changer tes courses, essais de trouver de nouvelles épreuves.

C'est la routine qui tue

Je rajouterai courir avec des amis

lalan a écrit:

Galaté57 a écrit:

Lounette a écrit:Juste un passage à vide, trop de travail, trop de stresss qui pollue le reste..
Ca va remonter rapidement tout ça, en tout cas je fais tout pour, le sport m'y aide
Le changement de saison vers l'hiver n'aide pas..!
Ce WE semi de Pertuis, ça va faire du bien.

Le sport doit rester un plaisir, il ne faut pas devenir esclave de son calendrier.
Tout cela en gardant une certain sérieux dans son activité.
Tu as plusieurs possibilité pour sortir du quotidien:
- changer tes parcours,
- changer tes horaires d'entrainement
- changer tes courses, essais de trouver de nouvelles épreuves.

C'est la routine qui tue

Je rajouterai courir avec des amis

encore grillé par Lalan !!!!!!!

j'allais écrire cela. Courir en discutant, c'est le meilleur moyen de "bouger un peu pour s'entretenir".

Bon, pendant que j'ai la langue levée, je pense quand même que (sauf pour les gars de bon niveau), quand on n'a pas envie d'aller courir, ben....faut pas y aller !
en tout cas, c'est ce que je fais.... et ça fait plus de 20 ans que, après des périodes de coupure plus ou moins longues, je reprends avec plaisir.
Repartir de loin, ce n'est pas démotivant au contraire : regardez Rocky 2,3,4,5,6.... à chaque fois le gars il s'y remet ! (quoi, qu'est ce qu'il y a, il est tout pourri mon exemple?)

Arclusaz a écrit:quand on n'a pas envie d'aller courir, ben....faut pas y aller !

Ecoutez ce Sage ! J'essaye de suivre les conseils qu'on me donne et qui me semblent avisés. Cette année j'en ai retenu 2 :

- la foulée d'alan
- le fonctionnement à l'envie d'Arclusaz.

Un grand succès dans les deux cas.

Suivez son conseil, braves gens

Arclusaz a écrit:Repartir de loin, ce n'est pas démotivant au contraire : regardez Rocky 2,3,4,5,6.... à chaque fois le gars il s'y remet ! (quoi, qu'est ce qu'il y a, il est tout pourri mon exemple?)

Oui Arclusaz, ton exemple, il est vraiment trop pourri ! Aaaaaaadrieeeeeennnnnne

pour eviter la baisse de motive je découpe mon année en 4 partie

hiver : ski de rando a gogo et si les conditions ne sont pas bonne un petit jogging pour garder la foulée souple.

primtemps: course a pieds avec un trail en avril et un fin juin.

été : grosse saison de travail pour moi avec du travail 7jours/7 donc impossibilité de faire des courses alors je fait chaque semaine une seance cap, une seance natation, une seance vtt a savoir qu'il m'arrive souvent de faire sauter la cap ou la natation pour une grosse sortie vtt qui fait bien plaisir.

automne : retour de la cap avec un trail en septembre ou octobre et la saintélyon pour cloturer la saison en commencant a regarder le ciel pour voir si les flaucon veulent bien tomber.

Pour ma part, je fais comme Arcluzaz, quand ça veut pas, ben j'y vais pas.
En général ma démotivation est liée à des événements extra-sportifs, entre un boulot plutôt physique et parfois (souvent?!) stressant, ajoutez à cela une vie privée disons, euh... mouvementée! Et bien parfois c'est vraiment dur de se motiver. En général, je laisse passer l'orage ou je fais un autre sport (l'escalade vide bien la tête également, et en plus se pratique en groupe...en général!).
Je dois l'avouer, j'aime courir l'esprit léger!

Pour ma part après bientôt 2 ans de reprise de la CAP (40 ans) avec beaucoup d'envie, et avoir réussi à atteindre les objectifs que je m'étais fixé: réussir à finir proprement un trail long de montagne (le GRP 80), je me pose un peu des questions existentielles sur mes motivations profondes à courir.

Un peu moins de motivation comme beaucoup dans ce contexte de changement de saison, et d'objectifs plus passés qu'à venir.
Néanmoins j'éprouve toujours du plaisir à courir, en allégeant, en étant moins à cheval sur un plan d'entrainement, en faisant sauter des séances suivant la fatigue, le travail, la famille, d'autres activités (voile en l'occurence) etc ...
Mais je n'ai pas envie d'arrêter complètement, d'une part parce que je ne veux pas "gâcher le travail effectué" en terme de performance mais aussi de poids, de sentiment de forme physique bien agréable.
D'autre part parce que je m'éclate à courir dans la boue avec mon chien à sauter par dessus les plus grosses flaques, à me ballader ainsi dehors moi qui travaille enfermé.

Après, la motivation vers des objectifs plus précis reviendra peut-être, ou pas., mais c'est sûr que c'est en me fixant ces buts que j'ai été le plus été assidu à m'entrainer.

Mais j'ai envie de diversifier : course d'orientation, raids d'orientation/multisports, course sur route avec établissement de chronos références ? sont des pistes pour varier du principal: le trail, qui d'ailleurs sera peut-être à l'avenir tourné vers pas plus long mais plutôt plus court, pour être moins exigeant et conserver le plus de plaisir possible !

Après, un abandon sur la TDS. J'ai eu du mal à retrouver de bonnes sensations et de la motivation. Pour me mettre un coup de pied au cul, je me suis inscrit sur les hospitaliers, et le plaisir est presque revenu. Et voilà ti pas que je me claque une entorse acromio-claviculaire.
Je pense qu'il me faut un break, ne plus me mettre de plan d'entrainement en tête, avec toutes les contraintes que cela implique et du repos.
On va continuer à courir bien sur mais différemment, au plaisir, à la sensation.

Ce qui ne me tue pas me rend plus fort.
Le ridicule ne tue pas.
Moralité: le ridicule rend plus fort.

le solitaire a écrit:Avec l'automne beaucoup de personnes passent en hibernation jusqu'au printemps

Tu parles pour les gens du sud ! Nous, c'est en hiver qu'on court le mieux ! Vive le cross !

le solitaire a écrit:Plus de 200 courses en 4 ans et tjs pas lassé. Mon secret? Le plaisir des rencontres, de la course à pied.

Jean-Louis tu vas me donner ton pseudo, il m'ira bien mieux. Moi je cours seul, quasiment tout le temps, et je ne fais que euh.... peut être 3 courses dans l'année, si je fais le 24h de Marignane.

Autant dire que je passe mon temps à m'entrainer, pour rien, ou juste pour le plaisir de courir.

Jean-Louis, ça doit te faire un sacré budget course ça?!!

xaxa a écrit:... D'autre part parce que je m'éclate à courir dans la boue avec mon chien à sauter par dessus les plus grosses flaques, à me ballader ainsi dehors moi qui travaille enfermé.

C'est quoi comme chien?

Patrick

droule a écrit:Je pense qu'il me faut un break, ne plus me mettre de plan d'entrainement en tête, avec toutes les contraintes que cela implique .

Mais précisément un plan d'entrainement qui ne prendrait pas en compte la notion de surcompensation physique ET récupération mentale serait à mon sens tout sauf un plan d'entrainement

S'entrainer c'est prioritairement tenter d'améliorer ses performances on optimisant son potentiel ....
ok mais c'est aussi , dans une certaine mesure , écouter son corps , sa tête !!!!


Allez regarder Fédérer (désolé mais à plus de 30 ans il reste pour moi la référence en terme de gestion de carrière ....)
Que fait-il lorsque la fatigue mentale arrive ? Il relâche !!

Bof cela semble assez bien lui réussir


Un plan d'entrainement ne se résume donc pas à enfiler des séances sur un tableau excel avec une magnifique colonne considérée comme la plus importante : je veux parler de celle qui indique la somme des heures effectuées, des km réalisés ou des mètres de D+ avalés .....

On voit ainsi des plans types à 8h , d'autres à 12h , d'autres à 15h....
Un peu comme si plus on en faisait meilleur on était ....

Avec évidemment en toile de fond , l'image stéréotypée du compétiteur Elite et ses 25 ou 30h par semaine ....en oubliant au passage que pour lui structurer sa récupération ne pose que peu de problème puisque "faire le métier" c'est pour lui appliquer son plan d'entrainement !!


Un plan d'entrainement c'est aussi planifier les temps de repos, de récupération mentale, c'est aussi et avant tout prendre en compte le niveau de récupération sur le plan physique ....et mental !!!!!

Bref construire un plan d'entrainement c'est tout sauf jouer aux forceps pour faire rentrer bon gré mal gré des séances types ....

Car effectivement les chances sont grandes de finir par tout envoyer bouler !!
Sauf si on joue dans la cours des stakanovistes de l'entrainement

Alain

C'est chronique après une grosse ou même moyenne course.
Je dirais qu'il y a deux options :
1) Insister puis faire une pause si ça passe pas et laisser l'envie revenir
ou
2) Faire une pause puis se remettre à insister en trichant un peu sur les facteurs de motivations (le passage quotidien sur un pèse-personne est un bon moyen de se remotiver...).

Et surtout, trouver un rythme entre deux courses : une semaine pour certains, deux bons mois pour d'autres. Personnellement, je suis sur un rythme de cinq/six courses par an les bonnes années : ça laisse le temps de récupérer et de caser des cycles d'entraînement un peu cohérents.
Mais il est très efficace d'avoir toujours un "objectif" (y compris signaleur, serre-file...) en vue qui entretienne l'envie, sans excès de zèle. Le "Management par Objectifs" est connu pour son lot de dégâts, c'est pas la peine d'en remettre une couche dans le cadre des loisirs