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Que faites-vous la semaine avant un trail ? quel type de non-entraînement?

Je ne sais pas si le sujet a été discuté, je penche pour le oui, car j'imagine que c'est un des trucs de base de l'entraînement que la gestion de la semaine d'avant course, mais je n'ai pas retrouvé dans un passé récent...

Donc la question est simple, que faire la semaine avant une course de trail, impliquant un dénivelé, une longueur, etc. bref un (petit/grand) défi physique; mais j'aimerais le comprendre en fonction d'un % par rapport à la semaine d'entraînement type.

Je ne suis aucun plan d'entraînement , ma préparation est caractérisée par l’irrégularité et l'improvisation , mais bon je suis preneur de tous les conseils et surtout je cherche à comprendre peu à peu la logique à respecter...

Si j'ai bien compris, il faut se reposer, mais ce concept du repos sera différent en fonction des capacités et des charges d'entraînement de chacun...

Par exemple là je viens de faire:
- dimanche Trail 19,5 km 700D+ (grosse crise : fatigue? 8 jours avant j'étais en montagne, un peu sur les rotules)
- dimanche 6 km EF
- mardi 8 km EF
- jeudi 8 km EF
- samedi 10 km EF
- dimanche tennis (nb cela a été le seul truc improvisé, pour le reste j'avais rarement été aussi régulier, merci la canicule : pas moyen d'y aller à l'envie, tôt le matin obligé et donc planifié...)

Si je fais :
- mardi 5 km
- jeudi 5 km
Dimanche Trail 18,5 km 650D+

Je vais dans la bonne direction ou bien je fais de grosses erreurs? Merci.

Je dis ça car après ma course du 2, j'ai 1 mois avant une autre course... et j'aimerais, dans la mesure où c'est la dernière de la saison, 'bien' la préparer

L'idée serait, après une semaine de repos, de courir de façon régulière (en combinant course EF et course en nature) jusqu'à la dernière semaine avant la course, et après... ben je ferai ce que vous dites!

ok, merci...

salut

en effet comme principe de base, une semaine allégée avant un gros rdv permet de faire du jus et d'arriver avec un bon état de fraicheur le jour J. Ne pas négliger également la récup après...
comme tu l'as dit, le concept de repos est variable suivant les capacités de chacun, donc tu vas avoir autant de réponses différentes que de coureurs.

à mon avis, plus l'objectif visé est long, + il faut accorder d'importance à la semaine préparatoire en termes de repos : pour un ultra par exemple, bcp dormir, et 1 voire 2 sorties max en EF, d'env. 45min. éventuellement une séance de PPG. rien les 48h qui précèdent.
en revanche, pour un objectif moins long, l'effort fourni sera plus intense mais aussi plus bref, donc je pense que tu peux charger un peu plus la semaine préparatoire, sans toutefois négliger de couper 48h avant.

mais ce n'est que mon avis!
bon courage

Oui c'est la bonne direction.
Pour la suite, comme c'est l'été, la semaine qui suit ton trail du 2 Aout, fais du vélo. Et le Dimanche 9, tu reprends tranquillou par un footing de 45mn - 1h. A partir de là tu te fais 2 sem de prépa avec 1 ou 2 sorties en EF - 1 sortie qualité ( durée 1h avec 3 fois 5mn au seuil, le reste en footing) - 1 sortie longue (1h15 à 1h 30 en EF). La dernière semaine avant ton objectif tu fais la même chose que cette semaine. Mais attention, si tu suis ce mini-programme, tu bascules dans le monde (merveilleux ??) de la planification

OK

NB j'ai pas peur de la planification ou de l'entraînement, c'est juste que j'aime moyen courir...

J'avais prévu de faire UN trail, le premier, je m'étais (relativement) entraîné, ça c'est bien passé... après je devais reprendre le tennis, mais j'ai perdu 2 fois de suite, étant out dans mon 'tour' de tennis, j'ai accepté de suivre un pote dans une course, sans avoir recouru ou presque, et puis suite à une grosse galère dans la troisième course, je me suis dit "stop, retour à la case préparation/entraînement..."

En fait, j'aime surtout le jour de la course, la nature, les forêts... mais si c'est pour souffrir comme la dernière fois, autant prendre une petite dose du truc désagréable appelé entraînement toutes les semaines pour éviter le maxi truc pénible du dimanche, sans compter le truc affectif : dernier de la dernière course faisons en sorte que ça soit ma dernière fois dernier