Trail : Comment monter plus vite ?
Publié: 03 Mai 2022, 13:15
J’entends déjà les esprits chagrins qui vont me titiller sur l’originalité d’un tel sujet. Et vertement d’aller me dire d’aller demander à google ou même profiter de la fonction "Rechercher" sur le forum.
N’ayant peur de rien, et surtout perdu dans la masse des ressources sur le sujet, je me lance quand même. Peut-être qu’un gentil samaritain aura la patience de me lire raconter ma vie jusqu’au bout. Mieux encore de prodiguer quelques conseils qui pourront me servir ou servir à d’autres.
Pour poser le contexte, j’ai un problème. J’ai commencé le trail depuis 5 ans, assez sérieusement je crois. J’arrive année après année à augmenter les distances (très modestement, je ne vise que le milieu de peloton et les côtes ITRA 500).
Entre la première et la deuxième année j’ai énormément progressé sur la descente. Par contre je plafonne et pire, je régresse en montée.
Il doit me manquer un truc, mais je n’arrive pas à mettre le doigt dessus.
C’est peut-être le volume d’entrainement ? Je tourne autour des 6-8h par semaine de CàP (plus quand je fais des randos courses). Plus 1h de PPG et autres vélotaf. J’ai beau prioriser, j’aurais du mal à trouver beaucoup plus de temps entre la vie familiale et la vie professionnelle.
C’est peut-être que je ne fais pas assez de spécifique ? J’ai pourtant la chance d’habiter au milieu des alpes et d’enquiller des séances de VMA en cote ou de seuil en montée de manière hebdomadaire. Ça ne débloque rien et je ne vois pas d’amélioration de mes chronos.
Ou alors le poids ou l’alimentation ? C’était certainement vrai. J’ai de grands bras et de grandes jambes. Je pesais 83kg pour 1m85 alors il fallait que je m’affine. Puis le premier confinement est arrivé. Je me suis intéressé à la nutrition, j’ai équilibré les repas. Comme par magie j’ai fondu. Depuis plus d’un an, je maintiens un poids de 70kg, et une masse grasse autour des 12% (d’après ma balance ça vaut ce que ça vaut). Est-ce qu’il faut que je perde encore ? J’en doute. Est-ce qu’au contraire je suis trop léger et qu’il faut que je fabrique plus de muscle. Ben je n’en sais rien, à vrai dire j’ai aucune idée de comment connaitre mon "poids de forme".
Ou encore la stratégie de course ? J’ai trop peur de "partir trop vite" et de m’épuiser avant la mi-course. Alors peut-être que je suis tombé dans l’excès inverse. Surtout que c’est pénible de toujours chercher à doubler sur les monotraces, à se trouver coincé dans un faux rythme. En plus de cela, je n’ose pas trop courir dans les montées, où risquer de le payer cher. Mais peut être que je me fais des idées et dans des pentes de moins de 10% il faut y aller.
Et si j’arrêtais le trail, car je ne suis pas fait pour ça ? Peut-être bien. Mais j’aime trop la montagne pour vouloir arrêter pour l’instant. Dans quelques années peut-être, pour m’éviter des blessures chroniques.
Bref, voilà pour le volet ou je raconte ma vie. J’ai encore récemment tenté ma chance sur le Nivolet-Revard, pour découvrir que je passais tout juste la BH de la Féclaz (un indice, il n’y avait quasi que de la montée et ben j’ai un souci avec la montée ).
Des idées, des conseils, des pistes pour m’aider à progresser ? Même des portes ouvertes, je prends.
N’ayant peur de rien, et surtout perdu dans la masse des ressources sur le sujet, je me lance quand même. Peut-être qu’un gentil samaritain aura la patience de me lire raconter ma vie jusqu’au bout. Mieux encore de prodiguer quelques conseils qui pourront me servir ou servir à d’autres.
Pour poser le contexte, j’ai un problème. J’ai commencé le trail depuis 5 ans, assez sérieusement je crois. J’arrive année après année à augmenter les distances (très modestement, je ne vise que le milieu de peloton et les côtes ITRA 500).
Entre la première et la deuxième année j’ai énormément progressé sur la descente. Par contre je plafonne et pire, je régresse en montée.
Il doit me manquer un truc, mais je n’arrive pas à mettre le doigt dessus.
C’est peut-être le volume d’entrainement ? Je tourne autour des 6-8h par semaine de CàP (plus quand je fais des randos courses). Plus 1h de PPG et autres vélotaf. J’ai beau prioriser, j’aurais du mal à trouver beaucoup plus de temps entre la vie familiale et la vie professionnelle.
C’est peut-être que je ne fais pas assez de spécifique ? J’ai pourtant la chance d’habiter au milieu des alpes et d’enquiller des séances de VMA en cote ou de seuil en montée de manière hebdomadaire. Ça ne débloque rien et je ne vois pas d’amélioration de mes chronos.
Ou alors le poids ou l’alimentation ? C’était certainement vrai. J’ai de grands bras et de grandes jambes. Je pesais 83kg pour 1m85 alors il fallait que je m’affine. Puis le premier confinement est arrivé. Je me suis intéressé à la nutrition, j’ai équilibré les repas. Comme par magie j’ai fondu. Depuis plus d’un an, je maintiens un poids de 70kg, et une masse grasse autour des 12% (d’après ma balance ça vaut ce que ça vaut). Est-ce qu’il faut que je perde encore ? J’en doute. Est-ce qu’au contraire je suis trop léger et qu’il faut que je fabrique plus de muscle. Ben je n’en sais rien, à vrai dire j’ai aucune idée de comment connaitre mon "poids de forme".
Ou encore la stratégie de course ? J’ai trop peur de "partir trop vite" et de m’épuiser avant la mi-course. Alors peut-être que je suis tombé dans l’excès inverse. Surtout que c’est pénible de toujours chercher à doubler sur les monotraces, à se trouver coincé dans un faux rythme. En plus de cela, je n’ose pas trop courir dans les montées, où risquer de le payer cher. Mais peut être que je me fais des idées et dans des pentes de moins de 10% il faut y aller.
Et si j’arrêtais le trail, car je ne suis pas fait pour ça ? Peut-être bien. Mais j’aime trop la montagne pour vouloir arrêter pour l’instant. Dans quelques années peut-être, pour m’éviter des blessures chroniques.
Bref, voilà pour le volet ou je raconte ma vie. J’ai encore récemment tenté ma chance sur le Nivolet-Revard, pour découvrir que je passais tout juste la BH de la Féclaz (un indice, il n’y avait quasi que de la montée et ben j’ai un souci avec la montée ).
Des idées, des conseils, des pistes pour m’aider à progresser ? Même des portes ouvertes, je prends.