serge a écrit:
1..... d'en faire d'autres pour voir si l'estimation est bonne,
2.... avec softrun, je peux calculer ce que je vaux sur le parcours de mon choix et cela me donne ensuite une estimation sur un autre parcours, le tout sans avoir à mettre un dossard.
1. Une course suffit. Sauf si tu as de bonnes raisons de penser que tu as totalement raté ta course.
Une course par format pour le restant de ta vie. Ca va ou c'est trop.
Pour ce qui est du grand fond que tu évoques, je défie aucun système de prédire ce que peut faire un novice. Après compétition ou et a fortiori sans compétition. Si quelqu'un arrive à prédire les capacités à ne pas s'ennuyer, avoir des ennuis gastriques, avoir plus ou moins sommeil, et j'en passe, chapeau ! Moi je botte en touche. Chapeau et botte, mais je n'ai pas le melon
Le grand fond demande une fouletitude de compétitions pour bien se connaître, rôder des allures, tester l'alimentation ou le sommeil en course. Et c'est bien pour cela que les "vrais fondeurs" sont des quasi-pros. Une petite dizaine de coureurs en France. Les autres ont quatre ou cinq tricots de peau de finisher et de très beaux souvenirs. Aucune certitude sur ce qu'ils valent dans ce domaine.
2. Autre chose.
Comment fais-tu pour savoir ce que vaut ta course sans compétition? Sauf si tu fais ton test sur une piste d'athlé, tu n'as strictement rien pour te raccrocher. A quel niveau suis-je? Obligation de circuit, de mesurage, de dénivelage. Achat d'une montre chère et compliquée.
Avec mon système, pas de mesure de dénivelé, de distance. La compet a fait le boulot. Le coût d'une inscription.
Le gabarit-référent : Un vague circuit qui ressemble au format de la compet et hop, maman en extase dans les meules de fromage. J'économise une montre prise de tête (une montre à la noix avec les secondes et c'est bon) et l'utilisation d'un logiciel qui me demande des trucs comme l'état du terrain ou la présence de ravitos.