Qu'est-ce que l'ultra vous a enlevé?

Qu’est-ce que l’ultra vous a enlevé dans la vie de tous les jours?
Je me rends très bien compte que c’est beaucoup plus politiquement correct de demander ce que l’ultra apporte dans la vie de tous les jours (et le post de CAPCAP était très intéressant), plutôt que ce qu’il enlève.
Pourtant j’ai envie de faire un peu de provoc, de la provoc gentille, pas méchante du tout, pour qu’on se demande si dans certains cas, cette pratique crée un déséquilibre. Il me semble que c'est un sujet un peu tabou non?
Je vous avoue (avant d’être torturée) que cette question, si elle m’est venue il y a bien longtemps déjà, a été ravivée ces derniers jours par des expériences malheureuses des uns et de certains autres, qui par exemple se trouvent fort marris et un ptit peu déprimés en cas d’arrêt forcé.
Les questions que je me pose c’est par exemple :
- est-ce que vous avez arrêté certains autres loisirs depuis que vous courez beaucoup (je ne demande pas forcément de détails !),
- est-ce que vous savez toujours faire un gâteau ou la cuisine si vous aimiez ça avant,
- est-ce qu’ouvrir un livre semble être devenu un effort surhumain,
- est-ce que vous trouvez encore du temps pour le ciné, des expos, des restaus
- etc etc etc
En résumé, est-ce que c’est fatal de perdre ses anciennes habitudes avec la charge des entraînements? Est-ce qu’on peut retrouver ces habitudes, ces occupations qu’on a aimé jadis, dans la sérénité et pas dans le désespoir de courir moins ou pas du tout pendant un temps ? Bref, comment ne pas se sentir esclave de tout cet engagement dans un sport finalement très chronophage ?
Je pense que ceux qui n’ont pas fait de sport pendant très longtemps avant de s’y mettre subitement sont avantagés en cas de coupure forcée, mais peut-être que même eux ont des difficultés ?
Je me rends très bien compte que c’est beaucoup plus politiquement correct de demander ce que l’ultra apporte dans la vie de tous les jours (et le post de CAPCAP était très intéressant), plutôt que ce qu’il enlève.
Pourtant j’ai envie de faire un peu de provoc, de la provoc gentille, pas méchante du tout, pour qu’on se demande si dans certains cas, cette pratique crée un déséquilibre. Il me semble que c'est un sujet un peu tabou non?
Je vous avoue (avant d’être torturée) que cette question, si elle m’est venue il y a bien longtemps déjà, a été ravivée ces derniers jours par des expériences malheureuses des uns et de certains autres, qui par exemple se trouvent fort marris et un ptit peu déprimés en cas d’arrêt forcé.
Les questions que je me pose c’est par exemple :
- est-ce que vous avez arrêté certains autres loisirs depuis que vous courez beaucoup (je ne demande pas forcément de détails !),
- est-ce que vous savez toujours faire un gâteau ou la cuisine si vous aimiez ça avant,
- est-ce qu’ouvrir un livre semble être devenu un effort surhumain,
- est-ce que vous trouvez encore du temps pour le ciné, des expos, des restaus
- etc etc etc
En résumé, est-ce que c’est fatal de perdre ses anciennes habitudes avec la charge des entraînements? Est-ce qu’on peut retrouver ces habitudes, ces occupations qu’on a aimé jadis, dans la sérénité et pas dans le désespoir de courir moins ou pas du tout pendant un temps ? Bref, comment ne pas se sentir esclave de tout cet engagement dans un sport finalement très chronophage ?
Je pense que ceux qui n’ont pas fait de sport pendant très longtemps avant de s’y mettre subitement sont avantagés en cas de coupure forcée, mais peut-être que même eux ont des difficultés ?