Modérateur: Modos
Colnotd a écrit:Bonjour, sur toute mes sorties que ce soit en entraînement ou course, après une bonne montée j'ai les jambes contractées au point de ne pas pouvoir reprendre mon allure de course. J'ai comme une impression que je consomme très rapidement l'oxygène de mes muscles. Je compte aller en salle pour muscler en profondeur et y gagner en puissance et impact mais a voir si cela suffit. Peut être est ce dû à l'alimentation type magnésium...quelqu'un aurait une piste sur la raison ??
Merci du retour
Colnotd a écrit:Bonjour, sur toute mes sorties que ce soit en entraînement ou course, après une bonne montée j'ai les jambes contractées au point de ne pas pouvoir reprendre mon allure de course. J'ai comme une impression que je consomme très rapidement l'oxygène de mes muscles. Je compte aller en salle pour muscler en profondeur et y gagner en puissance et impact mais a voir si cela suffit. Peut être est ce dû à l'alimentation type magnésium...quelqu'un aurait une piste sur la raison ??
Merci du retour
oeufmollet a écrit:Même sur les courses sur route, on voit le phénomène dès qu'il y a une côte un peu plus raide qu'un faux plat : ceux qui ralentissent un peu dans la côte rattrapent et doublent souvent ceux qui ont voulu garder le même rythme dans la côte.
Sylvain IT a écrit:oeufmollet a écrit:Même sur les courses sur route, on voit le phénomène dès qu'il y a une côte un peu plus raide qu'un faux plat : ceux qui ralentissent un peu dans la côte rattrapent et doublent souvent ceux qui ont voulu garder le même rythme dans la côte.
Le trail, c'est EXACTEMENT ça : marcher dans les côtes... en septembre j'ai fait un 10 km sur route en colline, aucun entraînement, je courrais avec un ami, dans le dernier km il y avait 2 toutes petites côtes, on y est arrivé ensemble, il a couru, j'ai marché, je lui ai pris presque 1 mn sur ce dernier km... juste parce qu'en trail ON MARCHE
Tout part de là : tu dois monter à un rythme "cardiaquement acceptable" dans un premier temps et musculairement acceptable dans un second temps... quel que soit ton niveau de préparation musculaire et cardiovasculaire/aérobie, il te sera toujours possible de monter trop vite (pour toi) et donc de ne pas pouvoir relancer (pour toi)
Sinon vu qu'on est en hiver une amie assez bonne dans sa transition entre la route et le trail faisait et fait pas mal de spinning (le truc en salle de gym sur vélo avec changement de rythme)...
PS tous les discours de suppléments alimentaires viendront looongtemps après la préparation sportive, pour renforcer les muscles de la tête grâce à d’évidents effets placébo (dont je profite, comme beaucoup... ).
Sylvain IT a écrit:oeufmollet a écrit:Même sur les courses sur route, on voit le phénomène dès qu'il y a une côte un peu plus raide qu'un faux plat : ceux qui ralentissent un peu dans la côte rattrapent et doublent souvent ceux qui ont voulu garder le même rythme dans la côte.
Le trail, c'est EXACTEMENT ça : marcher dans les côtes... en septembre j'ai fait un 10 km sur route en colline, aucun entraînement, je courrais avec un ami, dans le dernier km il y avait 2 toutes petites côtes, on y est arrivé ensemble, il a couru, j'ai marché, je lui ai pris presque 1 mn sur ce dernier km... juste parce qu'en trail ON MARCHE
Vik a écrit:non, le trail, c'est pas ça. ça c'est quand t'es en mode plaisir balade et que tu t'en fou d'arriver 15mn derrière, ou que t'as un gros poil dans la main.
sinon, tu te retire les deux poings du derrière et tu t'entraine dur. ça viendra.
Je fais partie de la première catégorie, pour les deux raisons. Mais assumons: courir en côte, c'est possible.
Le trail, c'est EXACTEMENT ça : marcher dans les côtes... en septembre j'ai fait un 10 km sur route en colline, aucun entraînement, je courrais avec un ami, dans le dernier km il y avait 2 toutes petites côtes, on y est arrivé ensemble, il a couru, j'ai marché, je lui ai pris presque 1 mn sur ce dernier km... juste parce qu'en trail ON MARCHE
Tout part de là : tu dois monter à un rythme "cardiaquement acceptable" dans un premier temps et musculairement acceptable dans un second temps... quel que soit ton niveau de préparation musculaire et cardiovasculaire/aérobie, il te sera toujours possible de monter trop vite (pour toi) et donc de ne pas pouvoir relancer (pour toi)
tad11 a écrit:Perso, à l'entraînement je monte presque tout en courant, même de gros pourcentages, très (très) lentement si il le faut, mais en marchant j'irais au moins aussi vite!
Par contre, en course, même des côtes beaucoup moins difficiles je les passe en marchant.
En course c'est pas la même histoire! Quand t'es déjà bien fatigué après un départ soutenu c'est dur de courir en montée sinon tu te mets dans le rouge et tu le paye plus tard! J'essaye de "relancer" juste avant le sommet si je peux!
Trixou a écrit:tad11 a écrit:Perso, à l'entraînement je monte presque tout en courant, même de gros pourcentages, très (très) lentement si il le faut, mais en marchant j'irais au moins aussi vite!
Par contre, en course, même des côtes beaucoup moins difficiles je les passe en marchant.
En course c'est pas la même histoire! Quand t'es déjà bien fatigué après un départ soutenu c'est dur de courir en montée sinon tu te mets dans le rouge et tu le paye plus tard! J'essaye de "relancer" juste avant le sommet si je peux!
Je faisais ca aussi mais je me suis dit qu'il valait mieux s'entrainer en faisant comme en course, donc maintenant à l'entrainement je monte en marchant le plus vite possible (ou j'alterne, mais je ne fais pas que courir). Les muscles en action n'étant pas les mêmes ca me parait intéressant.
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