Pas de problème Lulu, tant que tu ne me prends pas pour un homme sur ma photo de profil...
Comment ça Manu tu as dix minutes???

Déjà qu'il partage sa tente avec le Castor...Si en plus, tu me concurrences au tél...Il va falloir que je mette en avant de nouveaux atouts
Plus sérieusement, news de ce soir:
Fastoch: bien mais c'était costaud auj. Il finit 15e. Il soigne les ampoules, c'est fait une mousse au chocolat planquée dans son sac par mes petites mains et est à l'attaque pour la grosse épreuve de demain.
Castor: environ 5h 25, la cohabitation se passe bien et non, il ne se connecte pas avec son ordi mais l'a laissé en veille connecté à Kikourou alors peut-être que...
Lolo: termine auj en environ 5h35-5h40.
Demain, la plus grosse épreuve les attend:
Etape 3 le 3 juin
57,3 km 376m de dénivelé
Départ à 8h15
Le juge de paix disions-nous ! Oui et il faudra aborder cette étape en bon état de fraîcheur. Si le dénivelé est faible, c’est la distance et le sable qui constitueront la principale difficulté de cette étape, peut-être plus difficile que par le passé, surtout s’il fait chaud (lire explications plus bas)…
Cette étape entre Lacanau et le Cap-Ferret est très axée « Nord-Sud ». En pleine forêt, loin de toute civilisation pendant 45 km. Succession de chemins sablonneux et de rares pistes bitumées ou gravées (nom local pour les pistes gravillonnées). Oui, vous terminerez cette étape avec le sentiment d’avoir joué avec le sable toute la journée ! Pourtant, vous aurez 6 km de pistes "en dur " au total.
Traditionnellement, cette étape se termine par quelques kilomètres sur la plage. Cette année la marée sera haute pour les premiers arrivés et descendante, puis basse pour l’arrière garde, tant mieux pour ces derniers...
Comme chaque année, l’arrivée est à « la pointe du Ferret », comme on dit ici et vous ne découvrirez l’arche qu’au tout dernier moment puisque la côte n'est pas rectiligne (photo).
Face à vous, la Dune du Pyla vous attendra, majestueuse. Mais c’est une autre histoire !
A suivre…
Nota : Les tempêtes de février ont nécessité des passages d’engins pour débarder (emporter) les tonnes d’arbres abattus. Les pneus géants de ces engins ont creusé la couche d’aiguilles de pin laissant le sable à vif. Et quand ce ne sont pas les engins, ce sont des 4x4 laissés en libertés, des quads qui « labourent » les chemins. Le centre équestre de lège-Cap-Ferret n’arrange rien, nous sommes obligés de le laisser à distance tant les chemins sont dégradés par le passage des chevaux . J’ai bien été en peine de vous trouver des chemins souples : il n’y en a plus dans cette zone.
Allez courage les gars...vous allez déchirer
Yayoun_qui en a marre d'avoir que quelques minutes au tél et qui est à deux doigts de partir sur un bivouac en Aquitaine...